RETOURS est la newsletter des membres de l’ARE.
Les propos qui y sont tenus n’engagent que leurs auteurs
À l’instar des publications d’information, RETOURS entend donner la parole à tous les points de vue
Véronique Dobelle,
Responsable du comité Formation de l’ARE :
“Le comité Formation de l’ARE offre les clefs pour comprendre les procédures amiables et collectives”
SAVE THE DATE
Le vendredi 18 novembre, l’ARE et le CEDAG (Centre de recherche de Droit des Affaires et de Gestion de l’Université Paris Cité) organisent un colloque “Les classes de parties affectées, de la théorie à la pratique” de 9h00 à 17h00.
Plus d’informations prochainement
Le prochain déjeuner ARE aura lieu le mercredi 12 octobre au Pavillon Alleno Ledoyen (arrivée des membres à partir de 12h30)
Retours... sur la presse
Inflation, crise énergétique : vers un nouveau dérapage des retards de paiement
Challenges, le 22 septembre : Après un bond des retards de paiement pendant la crise sanitaire, les entreprises françaises affichent désormais un délai de paiement de 12 jours en moyenne contre 14 jours à l’été 2020. Mais la dynamique pourrait s’inverser en raison du contexte inflationniste.
L’Europe ferme la folle parenthèse des taux négatif
Les Echos, le 26 septembre : En passant son principal taux directeur à 0,5 %, la Banque nationale suisse est la dernière des banques centrales européennes à quitter l’univers des taux négatifs. Seule la Banque du Japon pratique encore un loyer de l’argent inférieur à 0 %. La fin d’une expérience mondiale qui a duré plus de dix ans.
Croissance, emploi, dettes... Les grands chiffres à retenir du budget 2023
Le Figaro, le 26 septembre : Top départ pour la séquence budgétaire traditionnelle de fin d’année. Ce lundi, le gouvernement a dévoilé son projet de loi de finances (PLF) pour 2023, décrit comme devant «Protéger les Français et aller vers le plein-emploi».
Confrontées à des grèves, de plus en plus de PME accordent des hausses de salaire
Les Echos, le 27 septembre : Les conflits portant sur les salaires se multiplient dans les PME industrielles ou de services, où l’usage de ce bras de fer est pourtant beaucoup moins utilisé que dans les grands groupes. Dans un contexte de tension sur les recrutements, les directions sont plus enclines à lâcher du lest.